dimanche 2 juillet 2017

lundi 26 juin 2017

Avec ou sans


Avec ou sans dorure, je passerais bien un moment à lui manger les seins.



dimanche 25 juin 2017

Selfie - 01


J'espère que personne n'aura envie de faire de commentaires désagréables.

vendredi 23 juin 2017

Réseaux sociaux

Naturellement, lorsqu'on utilise Facebook, il faut savoir être discret et ne pas mettre n'importe quelle photo, image, etc. Une image un peu sanguinolente, pourquoi pas, mais un sein, un cul, ça ne passe pas. Même un décolleté.


Je défonce une porte ouverte en disant ça. Je ne suis pas le premier, je ne serai pas le dernier, mais faut avouer que Facebook a une conception étrange des choses. Non ?

Rectification : le compte Kelojeens a été réactivé. J'ai parlé trop vite.

jeudi 22 juin 2017

Transports

Bientôt, une petite histoire en rapport avec ce gif, ou plutôt avec la suite de ce gif.



Elle baise dans le métro...

mardi 20 juin 2017

Une suite - 01


Une suite de photos classées divers dans mes dossiers. Il y en a d'autres et comme je n'aime pas les classements bizarres, et divers est pour moi un classement bizarre, je les ajouterai dans peu de temps, au fur et à mesure.




La suite et la fin de cette série demain.

dimanche 18 juin 2017

Sérénité


Elles sont deux. Charme et beauté. Elles dérivent sous nos yeux et nous dérivons avec elles. Nous nous laissons porter et transporter.


Hanches rondes. Seins qui rend fou. La femme qui nous étonne.


vendredi 16 juin 2017

Une belle journée d'été - 01

Par une belle journée d'été, Amélie a arrêté sa voiture au bord d'une route de campagne. La chaleur est étouffante, mais une brise légère vient quelque peu rafraichir cette ambiance estivale. Elle a trouvé un petit coin d'herbe verte, à l'ombre et s'y installe.

Naturellement, elle a mis, ce jour-là, une jupe légère et un chemisier qui ne l’est pas moins. Saison et chaleur obligent. Jupe qui, justement, remonte, ou plutôt descend le long de ses cuisses, car elle a eu l’idée, ou le réflexe, de plier ses genoux si bien que quelqu’un qui se serait placé en face d’elle pourrait très facilement voir sa culotte.


Cette brise qui passe lui fait du bien. Elle caresse ses cheveux, son visage, glisse sur son cou et sur sa poitrine en s’immisçant entre les boutons de son chemisier. Ses mains frôlent l’intérieur de ses cuisses. Il n’y a personne, elle ne risque rien. Aucun bruit, pas même celui, lointain, d’une voiture qui se serait perdue, comme elle, sur cette route improbable. Délicatement, elle tire sur le tissus de sa culotte et dénude son sexe qui a bien le droit, lui aussi, de profiter de cette douce fraicheur. Ses doigts effleurent son clitoris qui enfle, grossit de désir. Elle le branle lentement. Le plaisir vient, intense. Elle avait envie de ça, à ce moment-là, et n’a pas cherché à savoir si le lieu ou l’heure s’y prêtaient.

Mais ce n’est pas suffisant. Alors pendant qu’elle caresse son clitoris d’une main, elle glisse deux doigts dans sa chatte ouverte et qui n’attend que ça, qu’on la pénètre. Ses doigts qui coulissent ainsi font un léger clapotis, comme l’eau parfois vient délicatement cogner les rochers, du fait, précisément d’une brise intempestive. Contrairement à son habitude, lorsque l’envie lui prend de se donner du plaisir, elle n’a pas pensé à déboutonner son chemisier, à se toucher un peu les seins à travers son soutien-gorge. Elle n’est qu’à son plaisir de cette masturbation de son clito et de sa chatte qui en demande davantage, qui en veut toujours plus, qui s’ouvre au plaisir et qui la fait respirer fort au milieu de ce désert silencieux.

A suivre...

jeudi 15 juin 2017

Toujours pareil

Je pense à elle, particulièrement la matin au réveil. Depuis que j'ai aperçu ses pieds dans ses chaussures découvertes, mignons, et bien cambrés, je ne pense qu'à les lui lécher. Et je bande en y pensant, et je bande en écrivant ces lignes. Je ne sais pas si quoi que ce soit se passera un jour, si j'aurai la chance de caresser ses seins, de les sucer, de les manger, de lui caresser les fesses. Je ne sais pas si j'aurai la chance, le bonheur de lui faire tout ça. Les occasions de nous voir sont rares et particulières et cela ne dure que peu de temps.


Nous nous parlons, nous nous sourions. Je ne sais pas si je lui plais. Parfois, il me semble. Parfois, je ne sais pas. C'est un doute permanent. Je ne sais pas si faire le premier pas est une bonne idée. Je ne connais rien d'elle, de sa vie. Je ne connais que son nom et le métier qu'elle exerce. Ce n'est pas suffisant et la peur du ridicule est toujours présente. Forcément. Comment être sûr ? On ne l'est jamais vraiment, c'est certain. Alors, disons plutôt : comment avoir un doute favorable ? Comment repérer ces signes qui incitent à aller plus avant, surtout lorsque, comme moi, on a tant de mal à les identifier.

mercredi 14 juin 2017

149

149 notes en 2016 - 33 en novembre, 116 en décembre. Ca fait beaucoup. Mais c'était le début, plein de choses à récupérer depuis d'autres blogs. Je me suis calmé depuis.


Comme promis - façon de parler - voici le gif d'un type - une meuf ? Plutôt étrange, non ? Et plutôt excitant - qui se suce la bite et qui en retire beaucoup de plaisir.

Plaisir


Auto plaisir. Auto satisfaction. Il fallait qu'il y en ait une au moins. La voici, plus un gif. A l'occasion, beaucoup d'hommes ont fantasmé là-dessus, ce sont fait une idée, même vague de ce que cela pouvait faire de se sucer la bite. La langue sur le gland, la douceur, la chaleur, ces baisers un peu étranges que l'on se donne. Certains, sans doute, en abuserait. Et ceux qui peuvent le faire en abuse sans doute. Cela peut rendre fou. Peut-être. Il en va de même de la masturbation toute simple. Qu'on soit une femme ou un homme, pas trop n'en faut. L'autre est capital pour le plaisir, l'amour.

Alors, allons-y mollo.

mardi 13 juin 2017

Féminine



Table de massage - 09


C’est une table posée là, dans un endroit improbable et qui ressemble à tout sauf à l’usage que l’on veut en faire. Isabelle regarde ces photos et soupire. Toi… Elle s’adresse ici à Amélie… tu as la chance de lui ressembler. Pas tout à fait mais presque. Moi, je n’ai pas de seins, ou presque pas, pas de cul, ou presque pas et par conséquent je ne plais à personne, ou presque. Sauf à quelques types dont toi, Amélie, ne voudrait pas. Ce n’est pas tragique, mais c’est sérieusement emmerdant.

Moi, Amélie, je ne réponds rien. Je souris. Je compatis. Je déplore.

Mais je ne dis rien.





samedi 10 juin 2017

Séduction


A force de me regarder de cette façon, elle est arrivée à me séduire. Amélie savait y faire. Le langage des yeux, le langage du corps. Amélie dans sa petite robe d'été, presque transparente, ses seins qui débordent. Le sourire qui en dit long. Une promesse. Des promesses.

dimanche 4 juin 2017

Brusquement

Je pense à elle de cette façon, et ce depuis peu. Plutôt étrange quand on sait que je la connais depuis plusieurs mois. Presque trois ans, en fait, bien que je ne l'ai vue que quatre ou cinq fois.


Oui, je trouve ça étrange, quoi qu'en fait pas vraiment, peut-être, je n'en sais rien. Elle aurait pu me plaire immédiatement, ça n'a pas été le cas. Est-ce son décolleté qui m'a séduit ? Une façon particulière de me sourire ? Ces chaussures ouvertes qui m'ont laissé entrevoir ses jolis pieds. Je ne sais pas.


Je la revois prochainement. On verra bien si ce n'était qu'une illusion, un rêve de désir ou un désir réel.

mercredi 31 mai 2017

L'été - 02

J'ai envie de lui palper le cul. Il est si bandant son cul. Elle me branle toujours plus fort pendant que je m'excite de plus en plus sur ses nichons. Et puis brusquement, j'éjacule dans mon maillot. Marguerite gémit de plaisir. Discrètement, elle pousse un petit cri. Sans doute a-t-elle joui elle aussi. Ses doigts sont plein de sperme. Elle les suce en souriant. Puis, elle se masturbe, et se fait jouir, la tête enfouie dans mon cou.


Nous ne nous étions rien promis et chacun était libre de faire ce qu'il voulait, c'est vrai, mais tout de même. J'en avais eu mal au ventre d'assister à cette scène... Marguerite se promenait sur la plage. Elle en avait marre de rester allongée sur le sable à se faire bruler les chairs. Ses cuisses étaient rouges, la naissance de ses seins pour ainsi dire cramoisie. Je lui avais dit que c'était une connerie de faire ça, qu'il fallait se protéger. Mais elle ne m'écoutait jamais. Je la vis tourner autour du type au sifflet et à la bouée.


Il était grand, musclé, sacrément baraqué. Le genre de type qui devait lui convenir. Moi, je n'étais ni grand, ni baraqué, ni musclé. Pourquoi sortions-nous ensemble ? Pourquoi était-elle avec moi ? Je ne l'ai jamais vraiment compris. En tout cas, j'en profitais. Un maximum. Elle déambula pendant un bon moment, puis elle se rapprocha de lui et commença à entamer la conversation. Resté à distance, je ne pouvais rien entendre. J'étais intrigué. Puis, au bout de quelques minutes, alors qu'ils marchaient l'un à côté de l'autre tout en discutant, je la vis s'éloigner et rejoindre de petites cabines. Mais elle n'entra pas. Elle se mit derrière. Cachée. Bien à l'abri des regards indiscrets. Je la suivis discrètement. J'attendis un moment.


Elle en profita pour sortir une cigarette d'un petit sac qu'elle avait sur l'épaule et qui ne la quittait jamais et j'aperçus le type qui arriva lui aussi. Il vint la rejoindre. Une angoisse commençait à monter. Ils se mirent l'un contre l'autre. Le type tenait Marguerite par la taille. Ils parlaient, ils souriaient. Puis le type se mit à lui caresser les fesses. La bouée gisait à ses pieds. Il glissa ensuite ses mains sous le maillot de Marguerite, sous sa culotte et lui pelotait le cul. Elle se collait un maximum contre lui. Je la vis qui caressait le bas ventre type. Sans doute était-elle en train de la branler. Puis elle sortit ses gros seins de son maillot et le type se mit à les sucer comme un fou. Elle se faisait téter comme une salope. J'avais la haine au ventre. Pourquoi me faisait-elle ça ? Puis elle se mit à genoux et emprisonna la bite du type entre ses seins.


Elle le branla lentement et longuement. J'avais une furieuse envie d'intervenir, mais je me retins. Qu'aurais-je dit ? Qu'aurais-je fais ? Le type prenait un pied d'enfer. Ensuite, elle entreprit de le sucer, tout aussi lentement et longuement. Pendant ce temps, elle se branlait la chatte. Et tout d'un coup, le type éjacula. Il jouit sur les seins de Marguerite. Il giclait violemment sur elle. Je voyais ça. Je voyais tout. Et j'étais hors de moi. Elle se redressa. Embrassa le type à pleine bouche. Il se rajusta et s'éloigna. Marguerite resta un moment sans bouger. Je la vis s'asseoir et s'adosser au pied d'une cabine. Elle continuait de se masturber en se caressant les seins. Ses seins couverts du sperme du type. Elle l'étala bien partout. Je vis son visage se pencher en arrière, sa bouche s'ouvrir, sa poitrine se gonfler. Elle était en train de jouir.

La suite


Si tu arrives à bander, c'est déjà pas mal, avait-il pensé. C'est ça qui lui faisait peur. Ne pas y arriver, y parvenir. Passer pour un con, pour un gros nul, en quelque sorte.

samedi 13 mai 2017

Solidarité

Moi, je pense à tous ces mecs qui ne sont ni beaux, ni rien, ni charmants, ni intelligents, ni riches, et qui n'ont que les movies pour se branler et évacuer leur désir et leur stress, qui ne peuvent pas baiser, se faire sucer la bite par une super meuf, se masturber entre de gros nichons. Ils n'ont que leurs rêves, leur imagination.


Moi, je pense à toutes ces meufs qui n'ont rien d'attirant, et qui se branlent toutes seules dans leur chambre ou ailleurs, qui jouent du gode à défaut d'autre chose. Qui ne sont pas assez belles, pas assez charmantes, qui n'ont pas de nichons, pas de cul, rien.

Je pense à eux, les smicards de l'amour.

Et je leur dis ma solidarité.

vendredi 12 mai 2017

A la campagne


A la campagne, Ana nous montre ses superbes seins. Avec ou sans soutif.


Avec ou sans foulard.


Il n'y a rien de religieux, je vous l'assure...