vendredi 17 mars 2017

lundi 13 mars 2017

L'été - 01

L'été, les plages sont bondées et le sable glisse sous les vagues. Les femmes et les hommes sont comme des sardines huilées sortant de leur boîte et qui brillent au soleil. Sous une chaleur écrasante, Marguerite se tourne et se retourne afin de cuire davantage qu'elle ne l'est déjà...


Elle étrenne son maillot neuf. Il se voit de loin, il est rouge. Son cul rebondi me fait envie. Mais ici, nous ne pouvons rien faire. Je lui susurre quelques cochonneries à l'oreille qui la fait sourire. Un maximum de gens joue avec leur smartphone. Moi, pendant ce temps, j'effleure les nichons de Marguerite. Elle me repousse gentiment. J'insiste. Autour de nous, rien ne se passe...

Les gens sont ailleurs. Je ne sais pas où. Je palpe les seins de Marguerite. Elle me dit que ce n'est pas raisonnable. Nous sommes en public, en plein jour. Il y a de l'attentat à la pudeur dans l'air. Un type passe avec un sifflet à la bouche et une bouée dans la main droite. Il nous regarde, l'air absent...


Marguerite, voyant que ça ne sert à rien de protester, se met sur le côté et je fais sortir un de ses gros seins. Je le prends dans ma bouche. Pendant ce temps, elle glisse une main sous mon maillot et entreprend de me masturber. Je voudrais la baiser, mais c'est impossible...


Elle me branle de plus en plus fort, tandis que je dénude son autre sein et que je le suce à son tour. Personne ne fait attention à nous. C'est tout de même ça le plus étrange. Je lui caresse la chatte sous son maillot. Nous commençons à gémir tous les deux...


J'ai envie de lui palper le cul. Il est si bandant son cul. Elle me branle toujours plus fort pendant que je m'excite de plus en plus sur ses nichons. Et puis brusquement, j'éjacule dans mon maillot. Marguerite gémit de plaisir. Discrètement, elle pousse un petit cri. Sans doute a-t-elle joui elle aussi. Ses doigts sont plein de sperme. Elle les suce en souriant. Puis, elle se masturbe, et se fait jouir, la tête enfouie dans mon cou.

A suivre... 

Dans les quelques histoires que je mettrai en ligne, toutes les femmes, la plupart en tout cas, je veux parler des personnages principaux, s'appellent soit Catherine, soit Amélie Wermuren. Bettie Ballhaus est un modèle que vous avez déjà vu et que vous verrez encore. J'ai plein de photos d'elle et elle est superbe.

Petits seins, ou presque


Les femmes ne réalisent pas vraiment, sans doute, les hommes oui, à quel point il est agréable de laisser une femme nous masturber entre ses seins. Parmi celles que j'ai connues, certaines pouvaient, d'autres pas. J'étais alors frustré, en partie, mais frustré tout de même de ne pas connaitre cette sensation. Avec les autres, c'était si divinement bon qu'il m'arrivait, trop souvent, de me laisser aller sur elles. Sans doute m'en voulaient-elles de ne pas être capable de me retenir ? Ce n'est pas vraiment sûr.



samedi 11 mars 2017

Entre la vie et la mort


Entre la vie et la mort, je préfère la vie. Mais la mort, pourtant, est à l’œuvre. D'ici quelques mois la dictature sera au pouvoir en France, une dictature souhaitée par beaucoup de gens, même certains l'ignorent, ou un guignol à tête d'abruti. Deux soit disant électron libre qui soit disant ne font partie d'aucun système, c'est en tout cas, ce qu'ils veulent nous faire croire. Il y, bien sûr, la troisième option : un futur repris de justice, un futur mis en examen. Un dictateur, peut-être pas, mais un autoritaire réactionnaire, ça oui. Que s'est-il passé pour que nous en arrivions là, je n'en sais rien. Une crise économique qui n'en finit pas, orchestrée par la puissance de l'argent qui ne veut rien lâcher mais qui, pourtant, scie la branche sur laquelle nous sommes tous assis, leur représentant compris. Une perte de repaire, de valeur. La perte de ce qui est juste, de ce qui est bien. Le replis sur soi, l'égocentrisme, le trop d'infos qui nous abrutit et nous empêche de réfléchir, d'analyser. Le zapping de la pensée. Nous sommes cernés par des manipulateurs, eux mêmes manipulés par l'argent, seule valeur refuge. Et la peur, surtout la peur. Nous avons peur de tout. Des autres, de nous. Du présent. De l'avenir. De la violence, du terrorisme. Comment sortir de cette spirale infernale ? Je n'en sais rien.


Se raccrocher aux sentiments, aux désirs, aux plaisirs. Se raccrocher à la vie. A un sourire. Au sourire d'une femme. Rêver à cette femme et en faire, pourquoi pas, un livre.



Absolument incroyables


Absolument incroyables. Et pourtant. Elle a, de plus, un sourire délicieux.



vendredi 10 mars 2017

Plaisir des yeux




Lorsque Catherine faisait ça pour moi, ça me faisait beaucoup d'effet. D'ailleurs, elle s'en rendait rapidement compte.

jeudi 9 mars 2017

Langue sensuelle


Lectrice


Elle aime se retrouver ainsi, nue, un livre à la main, imaginant le regard de l'autre. Feuilletant tranquille alors que nombre de gens admirent son cul. Matez le bien, car c'est vrai qu'il est admirable.

mercredi 8 mars 2017

Aujourd'hui


Aujourd'hui, nous sommes le 8 mars et le 8 mars, c'est la journée mondiale - ou internationale, c'est selon - des droits des femmes. Et franchement, je ne sais pas quoi en penser.


Le Huffington Post pose une question intéressante : L'élection de Marine le Pen serait-elle une victoire pour les femmes ?

Le simple fait de poser la question est déjà une abjection totale.

Ici, il m'arrive de poser des questions et donner de temps en temps mon avis.

dimanche 5 mars 2017

vendredi 3 mars 2017

Réflexion

On a, parfois, envie d'écrire des choses et à force d'y penser, à force d'écrire dans sa tête, ce que l'on couche sur le papier s'éloigne de ce que l'on voulait dire en premier lieu. Le naturel n'y est plus.

Donc hier, puisque c'est de cela qu'il s'agit, je me rends dans mon supermarché préféré. J'achète quelques bricoles puis je fais la queue à la caisse. Ce n'est pas une caisse classique, mais une caisse où l'on scanne les produit soi-même. J'attends que mon tour vienne, lorsque je vois arriver une femme. Entre vingt et vingt-cinq ans. Un visage charmant, ravissant. Elle n'est pas très grande. Je la regarde, machinalement. Et ce que je ne peux m'empêcher de remarquer, ce sont ses seins. Elle a des seins comme j'en ai rarement vu, je veux dire, en l'occurrence, deviner. Je reste scotché un bref instant jusqu'au moment où je réalise que je ne peux pas la mater comme ça. Ca va se voir, elle va s'en apercevoir, ça va la mettre mal à l'aise, et moi aussi. Donc, je m'oblige à regarder ailleurs. Mais j'ai du mal. Mon regard tombe à nouveau sur ses magnifiques seins. Ronds comme des melons, des melon juteux que j'imagine chaud et doux.

J'y ai pensé longtemps après. J'y pense encore aujourd'hui. A tel point que j'ai envie d'en parler.





Ces quelques photos en guise d'illustration. Juste pour donner une idée.