mercredi 31 mai 2017

L'été - 02

J'ai envie de lui palper le cul. Il est si bandant son cul. Elle me branle toujours plus fort pendant que je m'excite de plus en plus sur ses nichons. Et puis brusquement, j'éjacule dans mon maillot. Marguerite gémit de plaisir. Discrètement, elle pousse un petit cri. Sans doute a-t-elle joui elle aussi. Ses doigts sont plein de sperme. Elle les suce en souriant. Puis, elle se masturbe, et se fait jouir, la tête enfouie dans mon cou.


Nous ne nous étions rien promis et chacun était libre de faire ce qu'il voulait, c'est vrai, mais tout de même. J'en avais eu mal au ventre d'assister à cette scène... Marguerite se promenait sur la plage. Elle en avait marre de rester allongée sur le sable à se faire bruler les chairs. Ses cuisses étaient rouges, la naissance de ses seins pour ainsi dire cramoisie. Je lui avais dit que c'était une connerie de faire ça, qu'il fallait se protéger. Mais elle ne m'écoutait jamais. Je la vis tourner autour du type au sifflet et à la bouée.


Il était grand, musclé, sacrément baraqué. Le genre de type qui devait lui convenir. Moi, je n'étais ni grand, ni baraqué, ni musclé. Pourquoi sortions-nous ensemble ? Pourquoi était-elle avec moi ? Je ne l'ai jamais vraiment compris. En tout cas, j'en profitais. Un maximum. Elle déambula pendant un bon moment, puis elle se rapprocha de lui et commença à entamer la conversation. Resté à distance, je ne pouvais rien entendre. J'étais intrigué. Puis, au bout de quelques minutes, alors qu'ils marchaient l'un à côté de l'autre tout en discutant, je la vis s'éloigner et rejoindre de petites cabines. Mais elle n'entra pas. Elle se mit derrière. Cachée. Bien à l'abri des regards indiscrets. Je la suivis discrètement. J'attendis un moment.


Elle en profita pour sortir une cigarette d'un petit sac qu'elle avait sur l'épaule et qui ne la quittait jamais et j'aperçus le type qui arriva lui aussi. Il vint la rejoindre. Une angoisse commençait à monter. Ils se mirent l'un contre l'autre. Le type tenait Marguerite par la taille. Ils parlaient, ils souriaient. Puis le type se mit à lui caresser les fesses. La bouée gisait à ses pieds. Il glissa ensuite ses mains sous le maillot de Marguerite, sous sa culotte et lui pelotait le cul. Elle se collait un maximum contre lui. Je la vis qui caressait le bas ventre type. Sans doute était-elle en train de la branler. Puis elle sortit ses gros seins de son maillot et le type se mit à les sucer comme un fou. Elle se faisait téter comme une salope. J'avais la haine au ventre. Pourquoi me faisait-elle ça ? Puis elle se mit à genoux et emprisonna la bite du type entre ses seins.


Elle le branla lentement et longuement. J'avais une furieuse envie d'intervenir, mais je me retins. Qu'aurais-je dit ? Qu'aurais-je fais ? Le type prenait un pied d'enfer. Ensuite, elle entreprit de le sucer, tout aussi lentement et longuement. Pendant ce temps, elle se branlait la chatte. Et tout d'un coup, le type éjacula. Il jouit sur les seins de Marguerite. Il giclait violemment sur elle. Je voyais ça. Je voyais tout. Et j'étais hors de moi. Elle se redressa. Embrassa le type à pleine bouche. Il se rajusta et s'éloigna. Marguerite resta un moment sans bouger. Je la vis s'asseoir et s'adosser au pied d'une cabine. Elle continuait de se masturber en se caressant les seins. Ses seins couverts du sperme du type. Elle l'étala bien partout. Je vis son visage se pencher en arrière, sa bouche s'ouvrir, sa poitrine se gonfler. Elle était en train de jouir.

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