jeudi 15 décembre 2016

Amélie est seule ou presque


Je suis seule depuis trois jours et trois nuits. Seule sans mon amant. Je ne sais que faire. Ce soir, le temps est maussade. Il fait gris dehors et il fait gris dedans. Je regarde les photos que nous avons faites avec Arthur. Sa queue me manque. Elle est si dure et si douce à la fois. Comment est-ce possible. Je ne pensais pas qu’un homme me manquerait à ce point.

Depuis que nous nous sommes rencontrés, je ne pense qu’à lui. Nous nous aimons comme des chiens. Nous nous aimons comme des amants, sans contrainte ni tabous. Nous nous aimons comme des gens, comme les gens devraient s’aimer.

Nous baisons et nous rebaisons. Et c’est bon de baiser. C’est bon de sentir une queue dans sa bouche, dans sa chatte, dans son cul. C’est bon de le masturber entre mes seins. Les miens sont gros et je les lui offre toujours avec plaisir. J’aime lui faire plaisir avec mes seins, avec mon cul, avec ma chatte, avec ma bouche. J’aime quand il me baise comme une chienne, comme une salope. J’aime ça. Et quand il n’est pas là, je me caresse, je me touche pour lui, même s’il ne le sait pas. D’ailleurs, il le sait puisque je le lui dis. Et ça ne me gêne pas de le lui dire. Ça ne me gêne pas d’être sa chienne et sa salope.

Et j’aime aussi, bien sûr, quand il jouit. Quand il jouit dans mon cul, parfois, le plus souvent dans ma bouche. Quand il m’inonde de son sperme. J’ai envie d’en avoir partout sur moi de son plaisir.

J’écris ces mots en pensant en lui. Je viens d’ouvrir mon chemisier. Mes seins son nus. Ils sont gros. Ils sont gros pour lui. Pour lui mais aussi pour mon amie Laurence. Je les caresse. Je me caresse les seins en pensant à lui, en pensant à elle. Je les soulève. Ils sont lourds, plein de vie et de sang. Ils bandent sous mes caresses. J’en soulève un et je le suce. Arthur sait me sucer les seins. Il sait me donner du plaisir avec sa bouche et avec sa langue. Je soulève l’autre et je le suce aussi. Je le fais comme il le ferait lui. Comme je le ferais à Laurence. J’aime dire à Laurence qu’elle a de gros seins, de gros nichons. Elle aime aussi et parfois nous sourions, nous rions de ces mots que nous utilisons entre nous. Ses gros nibards. Elle me les donne. Elle me les offres. Et c’est bon. Et c’est doux. Et c’est chaud. Et c’est la vie.


J’aime mes seins, mes nichons, mes nibards, mes melons, comme j’aime les nichons, les nibards, les melons de Laurence. J’aime mon cul, comme j’aime le cul de Laurence. J’aime lui manger le cul, comme j’aime lui manger la chatte et sentir son jus dans ma bouche qui coule et se répand et j’aime quand mon jus coule dans sa bouche et dans la bouche d’Arthur. Je bois son sperme comme il boit mon jus.

Mais je le vois qui vient. C’est lui. Il entre, il approche. Il voit mes seins nus. Il a envie de moi, il me désire. C’est bon d’être désiré par un homme. Il s’installe dans le canapé et je viens me mettre sur lui. Et je lui donne mes seins. Et je lui dis : Mange-les. Mange-moi. Régale-toi, mon chéri. Suce-moi les seins, les nichons, les nibards, les melons. Ils sont à toi, tout à toi. J’aime quand tu me suces les seins et je l’écris, parfois, et je le dis souvent, parce que je sais que tu aimes ça et que c’est bon pour toi et que ça t’excite comme c’est pas permis. Je les prends à pleines mains, pour toi, et je te les donne. Et tu les suces et tu les lèches encore et tu prends ton pied. Et je sens ta bave sur mes seins qui coule sur mes cuisses. Et ça t’excite encore plus et tu en veux encore plus et je te donne tout.

Et puis je me retourne. Je te montre mon cul. Et je te le dis : regarde mon cul, chéri. Mate-le bien, mon cul. Il est à toi, rien qu’à toi, fais en ce que tu veux. Mange-le bien, mon cul. Lèche-moi les fesses et ma raie comme tu aimes. Lèche mon anus. Délecte-toi de mon trou du cul. Mets-y un doigt ou deux si tu veux, si ça te fait plaisir. Moi, j’aime ça et j’en redemande. Encore et encore. Bien dans mon cul, oui, vas-y chéri. Ensuite, tu y mettras ta bite, ta jolie bite que j’aime tant. Mon cul est sa maison. Mon cul est la maison de ta bite, de ta queue fiévreuse et dure et pleine de sève, pleine de vie. Tu le feras rentrer doucement comme tu sais faire. Tu me baiseras à fond. Tu entreras et tu sortiras de mon cul qui est à toi. Et je crierai de plaisir et de désir aussi.

Et puis tu viens devant moi. Tu me regardes droit dans les yeux et tu descends pour m’offrir ta bouche et ta langue. Je les sens sur ma chatte en feu. Sur mon clito, sur mes lèvres en feu elles aussi. Ta langue s’agite, elle est habile, elle est douce et forte sur ma chatte en feu. Elle me fait couler mon jus que je te donne et que tu bois avec envie et désir de moi et qui augmente sans cesse. Et tu me pénètres de ta langue et tu me baises avec ta langue. Et c’est fougueux et c’est langoureux. Et puis enfin, tu viens en moi mais cette fois ce n’est plus ta langue qui me pénètre et qui me baise, mais ta belle queue bien dure. Elle pénètre à l’intérieur de moi. Et tu me tringle. Et tu me nique. Et tu me baises et j’adore ça. Et je jouis. Une fois, deux fois, trois fois, plein de fois. Et ma chatte est en feu et mon cul est en feu aussi. Et puis là, j’ai envie de te faire jouir car tu l’as bien mérité. Je branle ta queue avec mes douces mains, je suce ta queue avec ma bouche qui est comme un nuage. Je t’astique et je te demande si ça te plait, si tu aimes et tu me dis que oui et je continue. Une bonne pipe et je te le dis. Une bonne sucette et je te le dis aussi. Et je te branle un peu avec mes seins parce que tu aimes ça et j’aime que tu aimes ça. Et je te le dis. Et je souris en te le disant et je prends un air un peu salope de la meuf qui aime branler des bites avec ses gros seins. Et tu aimes ça. Et tu me le dis.

Et tu jouis sur moi, dans ma bouche, sur mes gros nichons. Je te le dis encore. Tu aimes les mots, tu aimes ces mots, tu aimes que je te les dise. Et tu me donnes tout parce que tu es bon et très excité et je reçois ton sperme sur moi, sur mon corps qui est à toi et que je te donne.

Viens, nous allons baiser encore. Car jusqu’à présent, nous n’avons rien fait.

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