dimanche 18 décembre 2016

Amélie et le type du bureau


Pendant quelques semaines j’avais travaillé en intérim dans une boite informatique. Ce n’était pas passionnant mais j’ai vécu, cependant, une aventure assez intéressante.

C’était un vendredi en fin de journée. Dehors, il faisait froid et tout le monde était chaudement habillé. D’autant plus qu’il y avait un problème de chauffage dans la boite et cela durait depuis plusieurs jours.

Dès mon arrivée, quinze jours plus tôt, j’avais repéré un type qui bossait dans une salle juste à côté de celle où je me trouvais. Il était plutôt triste, la cinquantaine, un peu bedonnant. Personne ne faisait attention à lui. Il travaillait de façon besogneuse. Il semblait s’ennuyer ferme. Chaque matin, je le retrouvais à la machine à café et j’eus l’envie de bavarder avec lui. Ce que je fis. Il était célibataire. Il vivait seul dans un studio depuis que sa femme l’avait quitté cinq ans auparavant. Il avait quelque chose d’assez touchant. Quelque chose me plut chez lui. Il avait une fine moustache et des lèvres un peu grosses qui le complexaient, je crois. Il était trapus, pas très agréable à regarder.

Il ne me restait que quelques jours à passer dans cette boite. Je devais la quitter le mercredi suivant. C’était, pour ainsi dire mon dernier jour pour entreprendre quelque chose.

Une envie. Une idée. Le plaisir qui vient. Le plaisir de faire plaisir. De faire une chose que je ne referais sans doute plus de toute ma vie. En clair, l’envie de me faire ce type. Comme ça, pour rien. Pour le plaisir. En sachant que je ne le reverrais plus.

Ce jour-là, j’ai des photocopies à faire. La salle prévue à cet effet se trouve au bout d’un long couloir. Elle est un peu isolée. Et surtout, elle ferme à clé. J’attends le dernier moment. Le moment où tout le monde commence à partir et où personne ne risque de venir me déranger. J’attends surtout le moment où je pourrais le choper, lui.

Je le vois qui se dirige, à nouveau vers la machine à café qui se trouve dans le même couloir. Je l’appelle. Il vient. Je lui dis qu’il y a un problème avec la photocopieuse. Pas très original, mais je n’ai pas trouvé mieux. Je le fais entrer et referme la porte.

Amélie : Je crois que c’est une feuille qui s’est coincée. Je n’en suis pas sûre et je ne veux pas tout casser. Je pars dans quelques jours, ce serait un peu con.

Il sourit.

Le type du bureau : Je vais regarder ça, mais je n’y connais pas grand-chose. Il faudrait peut-être faire venir un technicien.

Amélie : A cette heure, ça m’étonnerait qu’on en trouve un.

Le type du bureau : C’est vrai.

Il ouvre un capot. Il n’y a rien. Pas de feuille. Il trouve ça bizarre.

Le type du bureau : Tu es sûre que quelque chose est coincé ?

Amélie : En fait, je n’en sais rien. Et puis je m’en fous un peu.

Il se tourne vers moi, l’air surpris.

Amélie : Non mais c’est vrai. On va pas se faire chier pour une machine à la con.

Je souris de plus belle en voyant la tête qu’il fait.

Amélie : Je ne sais pas pourquoi, mais je suis… comment dire… un peu excitée. Viens, approche.

Il me regarde, incrédule.

Amélie : Approche, je te dis. J’ai envie de voir ce que tu as là. Entre les jambes.

Je ne prends pas le temps de voir la tête qu’il fait. Je me retourne pour me diriger vers la porte et je tourne la clé.

Amélie : Tu es timide, on dirait.

Je m’approche de lui et, lentement, fais descendre la fermeture éclair de son pantalon. Je glisse une main dans l’entrebâillement.

Amélie : C’est un peu mou tout ça.

Je me retourne à nouveau et relève ma jupe.

Amélie : C’est mieux comme ça ?

Je me cambre et bouge mes fesses. Lentement, je fais descendre ma culotte.

Amélie : Mmm, j’aime montrer mon cul. Qu’est-ce que tu en penses ? Il te plait ?

Le type du bureau : Il est très beau. Vraiment très beau.

Amélie : Tu m’étonnes. Viens. Approche. Caresse-le.


Ses mains sont douces. Il caresse bien. Je sens ses doigts sur ma chatte nue. Je commence à mouiller. Cette situation m’excite comme une folle.

Amélie : Mmm, c’est bon. Comment est-elle à présent ?

Je pose ma main sur son caleçon.

Amélie : C’est mieux. Beaucoup mieux. Déshabille-toi.

Il retire son pantalon et son caleçon. Sa queue commence à durcir. Pendant ce temps, je déboutonne mon chemisier. Mes gros seins débordent de mon soutien-gorge.

Amélie : Très joli. Je préfère quand une belle queue se dresse. J’ai bien envie de la mettre dans ma bouche.

Je le suce. Il gémit.

Amélie : Mmm, c’est bon de sucer une bite. J’adore. Mmm. Ça te plait ?

Le type du bureau : Oh oui…

Sa queue grossit à vue d’œil. C’est une sensation très agréable. Je me relève et on s’embrasse en se passant des langues. Je le branle doucement.

Amélie : Je suis super chaude. C’est toi qui m’excite comme ça. Je ne sais pas pourquoi. M’aurais-tu envoutée ?

Il me palpe les fesses.

Amélie : Mmm, oui, touche-moi bien le cul. Mmm, c’est bon. Tu peux caresser mon anus, si tu veux.

Je sens un de ses doigts qui essaie de me pénétrer.

Amélie : Mmm, oui. Encule-moi.

Il me pénètre brusquement.

Amélie : Ah oui ! Comme ça, à sec, c’est bon. J’en avais envie depuis longtemps.

Je dégrafe mon soutien-gorge.

Amélie : Mmm, mange-moi les seins.

Il les prend tour à tour dans sa bouche. J’ai l’impression que ça fait longtemps qu’il n’a pas fait ça. Il est tout excité.

Amélie : Lèche-les bien aussi. Mmm, ce que c’est bon. Ils sont assez gros pour toi ?

Le type du bureau : Mmm, oui. Ils sont magnifiques. J’en ai jamais vus de pareil.

Amélie : Ils sont à toi.

Il me fait ça pendant un très long moment. Moi, pendant ce temps, je ma branle le clito. Je sens que je vais jouir. Sa langue est bonne. Sa bouche suce tant qu’elle peut. Il est vraiment très chaud.

Amélie : J’ai envie que tu me baises. Viens.

Je me penche sur une table qui se trouve juste à côté de la photocopieuse et lui tend mon cul.

Amélie : Viens me lécher. Viens !

Il se met derrière moi et me lèche le cul et la chatte. Cette fois, je vais jouir. Je pousse un petit cri de plaisir. Il enfonce sa langue dans mon anus. Il me fouille. Je me caresse encore.

Amélie : Mmm, j’ai envie de ta queue. Viens me la mettre. Vite ! J’en peux plus. D’abord dans la chatte. Viens vite !

Je sens sa queue qui s’enfonce. Il me lime bien comme il faut.

Amélie : Ah oui, baise-moi fort.

Il donne de grands coups de reins, va jusqu’au fond. Le plaisir vient de nouveau. Je jouis très vite. Une fois, puis deux fois. C’est de plus en plus fort. Je ne pensais pas que ça me ferait cet effet-là, ni que sa bite me donnerait autant de plaisir. Je voulais me faire baiser, je ne suis pas déçue. On doit certainement m’entendre de l’autre côté de la porte, mais ça n’a pas d’importance.

Amélie : Ah oui ! Ah, c’est bon ! C’est trop bon ! Tu me fais jouir ! Mmm, ta queue est trop bonne. Continue…

Je suis, pour ainsi dire, à plat ventre sur la table, le cul en l’air. Je lui demande sortir de moi et de me lécher l’anus. Ce qu’il fait et superbement. A présent, j’ai une furieuse envie qu’il me la mette à cet endroit. Mon cul est tout mouillé. Mon anus se dilate tout seul.

Amélie : Encule-moi !

Il ne se fait pas prier. Je sens son gland à l’entrée de mon cul. Il s’enfonce doucement. Je la sens bien. J’ai un peu mal, d’abord. Puis le plaisir vient presque immédiatement.

Amélie : Ah, oui, comme ça. Bourre-moi le cul !

Le type du bureau : Ah, c’est bon. Tu m’excites. C’est bon de t’enculer.

Amélie : Mmm, oui, c’est bon. Tu vas me faire jouir.

Je jouis en effet, et à plusieurs reprises. Sa bite est serrée. C’est bon de se faire mettre.

Le type du bureau : J’en peux plus.

Amélie : Attends ! Retiens-toi ! Baise-moi encore un peu.

Nous gémissons tous les deux. Je sens qu’il ne va pas tenir très longtemps. Alors, après avoir bien pris mon pied, je le fais sortir de mon cul et me tourne vers lui. Je m’agenouille mets sa queue dans ma bouche.

Amélie : Maintenant, tu peux jouir.

Je le suce tant que je peux tout en le branlant.

Amélie : Mmm, c’est bon. Donne-moi ton sperme. Donne-moi tout.

Il gicle dans ma bouche. Une quantité impressionnante de foutre. Il avait une sacrée réserve. Il n’avait pas dû baiser depuis longtemps. J’adore faire jouir un mec. J’adore le faire cracher. Sa queue mollie un peu. J’ai son sperme partout sur moi. Je le suce encore un peu. Lui est aux anges.

Amélie : C’était bon ?

Le type du bureau : Oui. C’était super !

Amélie : Pour moi aussi. Je ne regrette pas.

Il me regarde. Son sperme a coulé sur mes seins. Je me rajuste comme je peux. Je vais devoir rentrer chez moi comme ça.

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