vendredi 9 décembre 2016

Une fois, au moins


On ne peut pas passer son temps à ça, mais j'avoue y avoir souvent pensé et j'avoue aussi avoir essayé de le faire mais sans y parvenir.

Hélas. Car ce doit être bon, divinement bon, de temps en temps, de se sucer la bite. De sentir la douceur de la chair, de cette chair dans sa bouche. De sentir sa queue durcir encore et encore sous la langue, de la passer sur son gland et tout autour.

J'imagine et je ne peux faire que ça. Imaginer l'avaler d'un coup, se faire une bonne pipe, un pompier, prendre son pied dans la solitude de sa chambre, et être loin du monde et de ses turpitudes. Y aller à fond. Dans ce cas inutile de se branler, la bouche et la langue font tout le travail. Et c'est un peu comme vous, mesdames, ou presque, vous auriez envie, de temps en temps, pour vous excitez davantage, de vous sucer les seins mais vous ne pouvez pas, et vous ne connaître jamais cette douceur, cette sensation et pour une fois nous sommes logés à la même enseigne. Nous sommes dans une égalité parfaite.


Et je le regrette sans doute autant que vous. Mais je n'en ai pas fini, car il y a le plaisir ultime, la jouissance, l'orgasme, le sperme. Et que faire de ce sperme ? Le laisser couler dans ma bouche, sur mon visage ? Le recracher, l'avaler ? M'en barbouiller la figure ? Mesdames, vous avez un point de vue là-dessus, mais nous, car il s'agit de notre propre semence. A vrai dire, je n'en sais rien. Cela me dégoûterait peut-être, à cet instant, car c'est au plaisir de la pipe que je pense, à celui de l'auto-fellation, non à ses conséquences.

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