mercredi 14 décembre 2016

Amélie et Arthur au grand magasin


Il fait beau cet après-midi-là et nous nous promenons Arthur et moi dans les rues baignée de soleil. Nous faisons quelques courses. Nous entrons dans un magasin de vêtements presque désert où nous nous dirigeons vers le rayon lingerie féminine. J’ai décidé de m’offrir une combinaison soutien-gorge et culotte un peu affriolante pour lui faire plaisir.

Pendant que je regarde, une vendeuse s’approche de nous. C’est une jolie blonde avec un visage charmant. Un peu ronde, elle a une très belle poitrine.

Une vendeuse : Je peux vous aider ?

Amélie : Peut-être. J’ai envie de quelque chose d’un peu coquin pour mon ami. Mais je ne suis pas très fixée.

Elle regarde Arthur et sourit. Arthur, lui, a l’air un peu gêné. Elle me montre plusieurs modèles, tous transparents, avec de jolis motifs ou des petites fleurs.

Amélie : Je peux les essayer ?

Une vendeuse : Bien sûr. Les cabines sont par là.

Amélie : Merci. Tu viens ?

La vendeuse nous précède. Je constate qu’elle a un très beau cul, bien rond, comme je les aime et comme Arthur les aime aussi. De plus, elle porte une jupe très courte. Je souris en regardant Arthur qui est en train de la mater. Je sais qu’il est excité.

Je rentre dans la cabine où je commence à me déshabiller et j’essaie un premier modèle. Bleu ciel. Il est joli, mais je ne raffole pas du bleu. J’en essai un autre. Rose, avec de petites fleurs, roses elles aussi. Je me regarde dans la glace, mais je ne sais pas trop. J’hésite. Je demande à Arthur de me rejoindre dans la cabine. Lui aussi hésite car la vendeuse est à côté de lui. Elle sourit. Et lui fait comprendre qu’il peut y aller.

Je ferme bien le rideau pour que personne ne nous voie.

Amélie : Qu’est-ce que tu en penses ?

Arthur : C’est très joli. Pourquoi ? Tu n’aimes pas ?

Amélie : Si. Mais c’est un peu classique. Ils n’ont pas grand-chose, en fait, ici. On va ailleurs ?

Arthur : Si tu veux.

Il va pour sortir.

Amélie : Attends.

Arthur : Quoi ?

Amélie : Elle est toujours dehors ?

Arthur : Qui ?

Amélie : La vendeuse.

Arthur : Je ne sais pas.

Amélie : Regarde.

Arthur : Pourquoi ?

Amélie : Fais ce que je te dis.

Il entrouvre le rideau.

Arthur : Elle est là.

Amélie : Viens. Assied-toi.

Arthur : Où ça ?

Amélie : Sur la banquette.

Arthur : Pourquoi faire ?

Amélie : Tu verras bien.

Je me retourne et fais descendre ma culotte juste au-dessous de mes fesses pour mieux les mettre en valeur.

Amélie : Embrasse-les. Embrasse mes fesses.

Arthur : Tu es folle.

Amélie : J’en ai envie. Fais-le.

Il embrasse mes fesses et les lèche de partout.

Amélie : Mmm, c’est bon. Continue. Mange-moi le cul. Tu bandes ?

Arthur : Evidemment que je bande.

Amélie : Je suis super chaude. J’ai envie de te sucer.

Arthur : Ici ?

Amélie : Oui.

Je m’agenouille entre ses cuisses et fais sortir son gros sexe bien dur.

Amélie : Je vais te faire une bonne pipe. Mmm, ce que c’est bon. Ce que j’en avais envie. Depuis tout à l’heure, je ne pense qu’à ça.

Arthur : Tu es folle.


Amélie : J’aime trop ta queue. Je l’adore. J’adore la lécher et la sucer. Et j’adore te sucer les couilles aussi. Ton gland est tout chaud. J’adore l’embrasser. Mmm, quelle belle bite. Mmm, ce que c’est bon.

Arthur : On va nous surprendre.

Amélie : Je m’en fous. J’ai trop envie.

De dehors, on entend la voix de la vendeuse.

Une vendeuse : Tout va bien ? Je peux vous aider ?

Arthur : Ça va. Merci… Non arrête.

Amélie : Je ne peux pas. Mmm, c’est trop bon de te sucer. J’ai envie que tu me la mettes. J’ai envie que tu m’encules. Viens, chéri, baise-moi. Viens, je te donne mon cul. Prends-le. Il est à toi.

Une vendeuse : Excusez-moi, mais c’est un peu long, je trouve. S’il y a un problème…

Arthur : Non, non, tout va bien.

La vendeuse entrouvre alors le rideau.

Arthur : Je suis vraiment désolée, mais… Mon Dieu, qu’est-ce que vous faites.

Amélie : Ça ne se voit pas ? Je fais une pipe à mon copain.

Une vendeuse : Mais… c’est interdit. Vous n’avez pas le droit. Sortez d’ici immédiatement.

Arthur : Excusez-nous. Je ne voulais pas… C’est elle qui a insisté.

Une vendeuse : Rhabillez-vous et sortez ou j’appelle la sécurité.

Amélie : Rentre.

Une vendeuse : Quoi ?

Amélie : Rentre, je te dis.

Une vendeuse : Mais… Pourquoi ?

Je prends la vendeuse par le bras et la force à entrer dans la cabine.

Une vendeuse : Vous êtes folle. Je vais appeler.

Amélie : Mais non.

Une vendeuse : Comment, mais non ?

Amélie : Embrasse-moi.

Une vendeuse : Quoi ?

Amélie : Embrasse-moi, je te dis. Et montre-nous ton cul.

Une vendeuse : Mais non !

Amélie : Mais si. Arthur, touche-lui le cul.

Une vendeuse : Lachez-moi !

Amélie : Vas-y Arthur.

Arthur : Je suis désolé…

Il soulève la jupe de la vendeuse et lui caresse les fesses.

Une vendeuse : Je vais crier.

Amélie : Mais non, tu ne vas pas crier. Si quelqu’un vient, tu risques de te faire virer. T’as pas envie de te faire virer. Mon ami, ici présent, a envie de te manger le cul.

Une vendeuse : Mais non. Je n’ai pas envie qu’il me mange le cul.

Amélie : Pourquoi ? Après, il va te baiser et moi je vais me masturber en vous regardant.

Arthur a fait descendre la culotte de la vendeuse et lui mange le cul. Elle ne se défend qu’à peine. Pendant ce temps, je l’embrasse à pleine bouche et lui caresse la chatte. Je sens qu’elle commence à mouiller.

Amélie : Tu mouilles, ma salope. Tu vois que t’as envie de baiser.

Une vendeuse : Non. Laissez-moi. Vous êtes en train de me violer.

Amélie : Mais non.

La vendeuse pousse un cri.

Amélie : Qu’est-ce qu’il t’arrive ?

Une vendeuse : Votre ami, il est en train de…

Amélie : De quoi ?

Une vendeuse : Il m’a mis un doigt dans le cul.

Amélie : Super. Et tu aimes ? Ça te plait ?

Une vendeuse : Non…

Mais la voilà qui soupire et qui gémit.

Arthur : Elle a un cul d’enfer. Je la défonce comme une salope.

Une vendeuse : Ah ! Ah ! Mmm, non ! Non !

Arthur : Son cul s’ouvre bien.

Une vendeuse : Mmm ! Mmm !

Amélie : T’aimes ça, on dirait.

Une vendeuse : Mmm ! Oui ! Mon Dieu, j’ai honte !

Amélie : Mets-toi à genoux.

Une vendeuse : Oui.

Amélie : Tu as envie de la baiser ?

Arthur : Un maximum.

Arthur se met derrière elle et, délicatement, il lui met sa bite dans le cul

Une vendeuse : Mmm ! Mmm !

Amélie : C’est bon ?

Une vendeuse : Mmm ! Oui !

La vendeuse gémit de plus en plus fort. Il ne faudrait pas qu’on l’entende. Je lui demande d’être plus discrète. Elle se retient, mais cela semble difficile. Pendant ce temps, je me caresse la chatte et les seins. Je vais bientôt jouir. Arthur est si fort. Il la baise si bien. Il lui défonce littéralement le cul et on dirait qu’elle en redemande. Je crois qu’elle aussi jouit.

Arthur finit par sortir du cul de la vendeuse. Elle semble épuisée. Elle reste par terre, sans bouger.

Amélie : Viens, chéri. Baise-moi aussi.

Assis sur la banquette, je viens m’empaler sur lui.

Amélie : Ah, c’est bon ! Oui, comme ça ! Encore ! Encore ! Fais-moi jouir ! Ah, je viens ! Mmm, c’est bon !

Il me baise si bien et je suis si excitée que je jouis plusieurs fois.

Amélie : Mon chérie, je vais te sucer la queue. Ta belle queue. Mmm ! Comme ça ! Je la lèche bien tout le long, de la base jusqu’à ton gland que je lèche et que je baise. Mmm, j’ai envie de faire gicler, de faire jouir. Viens, mon chéri, viens, donne-moi ton foutre. Viens, donne-moi tout !

Brusquement, il gicle dans ma bouche. C’est violent. Plein de sperme dans ma bouche. Rien que pour moi. J’avale tout. Jusqu’à la dernière goutte. Je le suce encore un peu jusqu’à ce que sa queue mollisse. Elle est belle sa queue. Même molle, elle est belle et je l’aime.

Nous nous rhabillons rapidement et sortons de la cabine et du magasin, laissant la vendeuse seule, assise par terre.

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